Lecture méditative

Prenons le temps de méditer ensemble la parole de Dieu !

Au Centre Œcuménique, le jeudi 18 avril de 14h30 à 16h

Le texte choisi est celui du dimanche 21 avril 2024

Évangile de Jésus Christ : Jean 10, 1-18

Traduction du missel catholique

Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis

 En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis.

Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.

Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.

Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »

Traduction Bible Segond 21

Jésus, le bon berger

« Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.

Le simple salarié, quant à lui, n’est pas le berger et les brebis ne lui appartiennent pas. Lorsqu’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et prend la fuite; alors le loup s’en empare et les disperse. [Le simple salarié s’enfuit] car il travaille pour de l’argent et ne se soucie pas des brebis.

Moi, je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent, tout comme le Père me connaît et comme je connais le Père. Je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos; celles-là aussi, il faut que je les amène; elles écouteront ma voix et il y aura un seul troupeau, un seul berger.

Le Père m’aime, parce que je donne ma vie pour la reprendre ensuite. Personne ne me l’enlève, mais je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre. Tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. »